De part son audience YouTube a su attirer les majors comme Warner. Le modèle économique ne semble malheureusement pas en faveur de la major qui, pour le coup, demande le divorce. De son coté l’Institut National de l’Audiovisuel français a décidé de poursuivre la marque de Google car le filtrage ne semble pas assez efficace : trop d’oeuvres protégées sont encore diffusées.
On peut se demander comme le virage de la vidéo en ligne va passer le cap d’une industrie capable de monétiser son audience et ses contenus. Le leader YouTube et son second Dailymotion multiplient les accords pour enrichir leur plateforme.